Déménagement de la Maison de l’Environnement à la mi Janvier 2017, vers de nouveaux locaux au 14 rue Tony Garnier à Gerland – Lyon 7ème

(station Halle T. Garnier du tram T1 à 250 mètres).

Une AG extraordinaire doit être organisée pour entériner le changement d’adresse de DARLY, adapter les Statuts (l’adresse rue Ste Hélène figure en page 1), et les (re)déposer en Préfecture.
Il faudra également modifier nos En-têtes, le site informatique, informer les CCP.
Nous devons aussi trier, et évacuer notre documentation des armoires qu’elle occupe dans la Salle de permanence au 1er étage avant le 12/01/2017.
Une réunion d’information organisée par la direction et le personnel de la Maison de l’Environnement est prévue en novembre 2016.

Salon Primevère :

< http://salonprimevere.org/ >

Participation de Darly, au côté de Lyon Métro TP, sur le stand de la Maison de l’Environnement, au salon Primevère (à Eurexpo Chassieu, les 3, 4 et 5 mars 2017 - Vendredi de 14h à 22h, samedi de 10h à 20h et dimanche de 10h à 19h).
Ces dates peuvent être contraignantes par rapport aux AG annuelles, il faudra se laisser un délai suffisant entre les deux évènements.
Ce 31ème salon-rencontres de l'alter-écologie – Primevère - a comme thème cette année "Affirmons notre Humanité".
Le coût du stand sera de 320 euros pour les deux associations réunies. Primevère distribue en compensation dans les semaines précèdentes des billets à prix réduit (5 ou 6 € au lieu de 8 €), d’un montant global équivalent (320 €), que les associations sont invitées à vendre (avant tout à leurs adhérents et familles) pour amoindrir le coût du stand.
La liste des associations participant à la Coordination, avec leur adresse postale, mail et téléphones, sera sur le stand.
Il faut actualiser nos plaquettes de présentation Darly, et procéder à une nouvelle impression.
Outre Lyon Métro TP qui sera aussi sur le stand, les autres associations affiliées à Darly peuvent, si elles le souhaitent, apporter leurs plaquettes, voire un ou deux dossiers à Darly (lors des réunions de Décembre, Janvier, Février ou avant le salon).
Merci de me contacter par e-mail < Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Nous supposons que la Sauvegarde des Coteaux du Lyonnais et les Associations cyclistes seront à Primevère sur un stand personnel, comme les années précédentes ?

Comment rendre le stand attractif ?
Il faut préparer ou trouver une affiche murale qui accroche. Cartes et plans sont aptes à capter les visiteurs, mais faut-il représenter seulement la réalité, ou des propositions plus diverses, et expliquer ensuite quelles sont les difficultés de leur réalisation (restrictions financières, par exemple). Nous devons éviter de « passer pour des comiques » et déconsidèrer nos associations.

L’organisation des systèmes de transport, l’intermodalité, l’harmonisation billetique, la participation à la réflexion et à la préparation du PDU sont des thèmes plus ardus mais à ne pas délaisser. Rappeler aussi que nous sommes liés à la FNAUT, donc au service des usagers, pour les défendre.
Nous pouvons présenter quelques ouvrages sur les problématiques transports lyonnaises ou générales (nous avons quelques livres, revues, brochures) pour consultation sur place, mais sans les vendre. Il est préférable de les avoir lu préalablement.

Ces ouvrages pourraient par contre être plus tard disponibles en lecture sur place à la Bibliohèque de la Maison de l’Environnement, ou même en prêt (à voir avec le Bibliothécaire MRE).
Mobilier (tables ou tréteaux, décoration, chaises) : Qui les fournit ? De quelle surface disposerons nous, sur les panneaux muraux et les tables ? A se faire préciser par la MRE.
Permanents sur le stand : 27 heures de présence sont à assurer au total, incluant l’installation (à priori le vendredi 3 matin) et le démontage dimanche soir. On a besoin de volontaires.

Les permanents disposeront d’autants de billets « exposant » (entrées gratuites au salon) que de jours où ils viendront tenir le stand, même si c’est une présence de courte durée. Le déplacement vers Eurexpo (et retour) reste à la charge de chacun. Primevère fournit des badges à porter pendant le salon.
(il y a de quoi se restaurer au Salon Primevère)

Il est souhaitable de maîtriser raisonnablement les sujets que nous présenterons. De ce point de vue les responsables d’associations affiliées qui auraient de la documentation sur notre stand sont bienvenus.
A été évoqué la possibilité de demander aux organisateurs de tenir une conférence (il s’en tient une centaine pendant le Salon). C’est un gros travail supplémentaire, il faut un sujet, un (ou des) conférencier(s).

 

Conseil syndical du Sytral du 4 Novembre :

Le Sytral a approuvé le Bilan de la Concertation préalable de l’opération Ouvrons Perrache et distribué le document n° 16.055 correspondant. Les Maîtres d’Ouvrage accèderont à la demande de Droits du Piéton pour le choix et un banc d’essai des matériaux de sol à utiliser. Face aux inquiétudes sur l’encombrement du Cours Charlemagne (terrasses des commerces riverains, sécurité des cyclistes et piétons, abattage des arbres, nombre de quais tramway) avec une station Suchet prévue à 4 voies dont 2 comme terminus du T2, le Sytral déclare accepter d’étudier avec les parties prenantes une position du terminus technique (voies de régulation du T2) plus au sud, au-delà du carrefour Suchet. Affaire à suivre.

Ayant évoqué le problème A45, la discussion porte sur les surfaces agricoles prises par l’autoroute et sur le film Demain < https://www.demain-lefilm.com/le-film > lorsqu’il traite de la permaculture < http://www.laclefdesterroirs.com/base-de-connaissance/videos/la-permaculture-une-solution-pour-demain > ensemble de techniques et savoir faire agricoles qui – au prix d’une forte quantité de travail – permet à un terrain de taille réduite, cultivé avec une grande variété de fruits et légumes, de procurer de quoi survenir aux besoins de l’exploitant sans l’engager dans les travers d’une agriculture capitaliste et productiviste abusant des produits phytosanitaires. Le problème est que les terrains sont difficiles à trouver (la FNSEA tendrait à réduire l’offre) pour les jeunes agriculteurs formés professionnellement et qui voudraient se mettre à ces modes d’exploitation, même si dans les Monts d’Or, rapporte Paul VINCENT, quelques PENAP leur donnent des possibilités < http://www.rhone.fr/developpement_innovation/environnement/les_penap >. Dans le PLU-H est prévu un « coefficient de pleine terre », qui existe depuis toujours (1/3 de chaque parcelle) mais qui n’est ni contrôlé ni respecté.

Il faudrait, estime Marc ELLENBERG qu’une part des emprises des futures autoroutes servent aux transports en commun et aux systèmes « uber-isation » et de co-voiturage amenés à se développer. La contribution de DARLY sur la préparation du PDU a proposé des priorités TC – couloirs sur les autoroutes existantes et sur des routes nationales ou départementales (la vitesse de circulation générale tombe parfois sous 15 km/h aux heures de pointe du matin sur certaines de ces routes).

Débat Association Déplacements Citoyens

le lundi 28 ou mardi 29 novembre 2016 – Il portera sur la desserte des zones peu denses, avec la participation de Mr Philippe BOSSUET directeur du service «prospectives et études amont » du Sytral – La date, l’heure et le lieu nous seront précisé par J. MURARD.

Le CG69 a récemment élagué la desserte des Cars du Rhône pour faire des économies et limiter la contribution forfaitaire annuelle qu’il devra verser au Sytral dès Janvier 2017. Ont été supprimé les services ou lignes les moins utilisés. Comment fournir cependant un service de transport ? La voiture a encore de beaux jours devant elle, mais il faudrait organiser du co-voiturage du quotidien sur courtes et moyennes distances. Un conducteur pouvant toujours être défaillant, le nombre d’automobilistes prêt à rendre le service (contre participation des passagers) doit absolument être excédentaire.

Des lignes Juniors Directs ont aussi été supprimées par le Sytral, car les élèves oublient de composter en montant leur carte d’abonnés, ce qui donne une sous-évaluation de la fréquentation réelle.

Le Transport à la Demande (TAD) s’avère intéressant pour les voyageurs – Lionel VENTURA cite l’exemple de celui organisé sur la zone industrielle et portuaire de Gennevilliers en région parisienne – mais reste coûteux pour l’organisateur, du fait des frais de personnel. C’est peut être dans de tels cas que les bus automatiques conviendraient.

Navettes automatiques à la Confluence : Michel BERNARD (qui était ingénieur Alstom) note les limites des automatismes : l’expérience en cours montre d’ailleurs que ces navettes « ont du mal » à atteindre le niveau d’anticipation des conducteurs humains sur un trajet non cloturé où les intrusions soudaines de piétons, cyclistes et autres véhicules sont fréquentes. Marc ELLENBERG souligne le problème juridique : qui est responsable en cas d’accident, le fabricant, l’exploitant ?

Sièges aux arrêt de bus. Colette OLIVERO rappelle et demande qu’on soutienne ses demandes réitérées et pour l’instant vaines, d’obtenir des sièges aux arrêts de la navette Presqu’ile (S1), utilisée par des personnes souvent assez âgées - alors que la fréquence de cette navette a diminué ces dernières années, allongeant les temps d’attente.

Bernard GIRARD, Co président